LE CANADA EST PRO-MORT: LE «LEADER MONDIAL DE L'EUTHANASIE» ENVISAGE MAINTENANT LE SUICIDE MEDICALEMENT ASSISTE DES ENFANTS SANS LE CONSENTEMENT PARENTAL

Le Canada est pro-mort : Le « leader mondial de l'euthanasie » envisage maintenant le suicide médicalement assisté des enfants

En 2021, le Canada est devenu le « chef de file mondial de l'euthanasie » - aidant médicalement plus de 10 000 personnes à mourir prématurément. Depuis 2016, les autorités médicales canadiennes ont donné suite à 31 000 demandes d'euthanasie. Les hôpitaux y sont rapidement devenus des camps de la mort, un lieu macabre où les soins et les conseils sont refusés, où le désespoir et le suicide sont encouragés.

Alors que la dépravation se répand, le Parlement canadien envisage maintenant une loi qui permettrait aux autorités médicales d'assister des mineurs dans un suicide médicalement assisté , sans le consentement parental. Si cela vous semble bizarre, voici jusqu'où le Canada est allé en quelques années seulement…

L'EXPANSION DEPRAVEE DU SUICIDE MEDICALEMENT ASSISTE AU CANADA ET AU ROYAUME-UNI

L'euthanasie était autrefois un acte criminel lorsqu'elle était pratiquée sur des adultes. En 2015, la Cour suprême du Canada a annulé ces interdictions criminelles du suicide assisté dans Carter c. Canada. Après cette tristement célèbre décision, le Parlement canadien a légalisé « l'aide médicale à mourir » pour les adultes en vertu du projet de loi C-14. Cette loi, adoptée en 2016, autorisait les autorités médicales à mettre fin à la vie d'une personne s'il était déterminé que son état incluait des «souffrances persistantes et intolérables» ou une «mort raisonnablement prévisible».

En 2021, le Parlement canadien a adopté une loi sur l'euthanasie plus cavalière (projet de loi C-7), permettant aux personnes atteintes de maladies mentales de se suicider sous surveillance médicale, à condition qu'elles souffrent également d'une affection non liée à une maladie mentale. Cela a ouvert la voie à un jeune de 23 ans, Kiano Vafaeian, qui a demandé l'euthanasie à l'insu de sa famille. Il souffrait de dépression chronique et il était également diabétique, avec une perte de vision dans un œil. Lorsque sa sœur et sa mère se sont inquiétées pour sa santé mentale et se sont connectées à son compte, elles ont découvert que leur frère/fils avait fait une demande et avait obtenu une « aide médicale à mourir ». Un médecin devait aider Kiano à réaliser son souhait de mort à seulement 23 ans. La famille a repoussé durement. Le médecin - le Dr Joshua Tepper - a reçu un contrecoup et a finalement renoncé à l'opération. La vie de ce jeune homme a été sauvée, mais tant d'autres jeunes envisagent maintenant l'euthanasie et sont désespérément parqués dans les camps de la mort.

L'EUTHANASIE S'ETEND DESORMAIS AUX MINEURS

En 2018, une revue médicale britannique a promu la soi-disant « éthique » de l'euthanasie des enfants sans le consentement des parents. En 2017, les autorités britanniques ont pris possession d' un bébé nommé Charlie Gard , un bébé en bonne santé né avec une maladie génétique rare et grave. Même si les parents ont collecté des fonds pour un traitement expérimental à l'étranger et qu'un médecin était prêt à aider, les autorités britanniques ont essentiellement enlevé le petit Charlie à ses parents et ont retenu l'enfant contre la volonté des parents. Les autorités britanniques ont cherché à mettre fin à la vie du garçon, affirmant que le petit Charlie devait "mourir avec dignité". Les tribunaux européens ont décidé que Charlie devait être retiré du système de survie et se voir refuser un traitement. Il est mort à 11 mois.

Cette affaire a incité un comité parlementaire canadien à décider s'il fallait adopter une nouvelle loi permettant aux autorités canadiennes d'enlever des enfants et de les tuer « de manière éthique » sans aucune contribution des parents.

Dans la loi C-7, les législateurs ont créé une disposition qui ouvre la porte à l'euthanasie des mineurs. C-7 demande un « examen complet des dispositions du Code criminel relatives à l'aide médicale à mourir et de leur application, y compris, mais sans s'y limiter, les questions relatives aux MINEURS MATURES… ». Selon le ministère de la Justice du Canada, « les parents ont généralement le droit de prendre des décisions en matière de traitement au nom de leurs enfants ».

"La doctrine du mineur mature, cependant, permet aux enfants jugés suffisamment matures de prendre leurs propres décisions de traitement." À l'heure actuelle, le Canada cherche à étendre l'euthanasie aux « mineurs matures » tout en empêchant tout membre de la famille d'intervenir, tout en révoquant les droits parentaux.